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Sujet: let's bring sexy back. (miami, sauna/spas) Dim 7 Nov 2010 - 5:04
If that’s your girl you better watch your back; Cause she’ll burn it up for me and that’s a fact
Janell lui avait dit qu'une sortie de couple leur ferait du bien. Que ça les revigorerait, que ça allait ressouder certains liens brisés entre eux deux. Il ne savait pas trop de quoi elle parlait, mais ne voulant pas commencer une nouvelle dispute, il fit comme si il comprenait et qu'il était d'accord. Bref, il se la fermait et la suivait. Cette fois-ci, elle le traînait dans ce centre de relaxation où se donnait un service de spa, de sauna, de massage et etc. Des activités parmi lesquelles les occasions de discussions étaient très peu fréquentes, évidemment. Au lieu de discuter, d'essayer d'améliorer les choses, Janell préférait plus que tout au monde parader avec son petit ami pour prouver à la planète qu'il était encore à elle. Enfin, c'était du point de vue de Ben. Ce dernier ne prenait pas plus la parole avec elle, préférant rester low profile dans ce genre de situation. Il savait très bien qu'elle savait très bien qu'il était allé au bal des Capulet même si elle n'avait pas voulu, il savait très bien qu'elle savait très bien qu'il ne l'appelait plus autant et surtout, il savait très bien qu'elle savait très bien qu'on l'avait vu discuté publiquement avec la tigresse Capulet.
Elle avait sourit tout bonnement à la réceptionniste. Cette dernière avait rougit en les regardant les deux. La mannequin qu'on voyait de plus en plus partout, au regard sauvage et à la chevelure de feu. Et lui, fils de riche qu'elle voyait dans tous ses revues à potin. Elle venait d'un milieu plus ou moins riche, et les gens de la haute comme Janell Soward et Benvolio Montague lui faisait toujours un effet particulier. La rouquine la regarda de haut avant de prendre la robe de chambre et tout l'équipement qu'elle avait besoin pour cette journée de « relaxation ». Ben s'approcha un peu plus timidement et remercia personnellement la petite réceptionniste. Il fallait bien qu'il y en ait un dans le couple qui rattrape les choses.
« Elle était jolie? - Qui? - La réceptionniste. - Pourquoi? - Tu la dévorais du regard. - Non. - Si. - Janell, t'es parano ou quoi? »
Elle se tourna vers lui lorsqu'ils eurent atteint les vestiaires avec les cases. Elle darda son regard sur lui, et il ne se fit pas prier pour le soutenir. Quelques secondes passèrent et elle vint se blottir dans ses bras, en voyant qu'il n'y avait personne autours d'eux. « Non pas du tout. Je te fais confiance. » Ben eut un petit sourire en coin et l'embrassa. Un sourire victorieux sur les lèvres, la rouquine tourna brusquement les talons, fouettant involontairement le visage de Benvolio avec sa crinière. Il se frotta les yeux et la regarda aller se changer. À peine eut-il sortit de son vestiaire qu'elle l'attendait déjà, cellulaire en main, entrain de texter une de ses « amies ».
« Et si on commençait par le spa? - Je préfère le sauna. - Pas le sauna. Pas tout de suite. Allons-y pour le massage. - Je préfère encore le sauna. - Bon d'accord, elle soupira, on peut aller à la piscine aussi. - Je veux le sauna. - ... Alors va au sauna! Nom de dieu. On se retrouvera à la fin de la journée! Non mais! »
Ben leva un sourcil. Regarda autours de lui pour voir s'il n'y avait pas quelqu'un d'autre qui comprendrait sa confusion mais il était seul. Il mit sa serviette sur son épaule et armé de ses supers sandales en caoutchouc qui faisait squouic squouic, il se dirigea tranquillos dans la salle du sauna (bien évidemment, il dû suivre un plan très complexe et il faillit se perdre trois fois). En y entrant, la vapeur l'attaqua soudainement comme un monstre sortit d'un placard mais il eut vite fait de s'en débarasser et de le vaincre. Il alla s'asseoir, tout bonnement, tandis qu'un gros bonhomme à l'autre bout de la pièce suait sa vie. Il sourit poliment et attendit.
Sullivan Hawkings
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Zooey s’élança sur le lit de son ami alors que celui-ci – visiblement – dormait toujours à point fermé et lui foutu devant son visage des feuilles de papiers. Sortant difficilement son bras droit de la chaleur de son lit – il était évidement prisonnier d’une couverture extrêmement jalouse – ses doigts se refermèrent sur les papiers et Sullivan dût plisser les yeux pour arriver à discerner la moindre lettre. La jeune femme, quant à elle, dansait et chantonnait joyeusement sur les matelas au-dessus du corps quasi-inerte de son ami. Il avait un mal de crâne horrible, sa vision était floue et il n’arrivait pas à se concentrer aussi rapidement après s’être réveillé aussi brutalement.
« C’est quoi ? Arrête de chanter : ma tête va exploser… - J’ai gagné ! À la radio ! - Hein ? - Non, gros béta, cria-t-elle en se laissant tomber sur lui. Elle se positionna le plus confortablement possible sur son dos et se mit à lui caresser les cheveux et grimaça. Tu pues. - Gin. Grand Marnier. Sambucca. Whiskey. Ugh... - Wow. Mais c’est pas l’important. L’important c’est que tu viens avec moi au spa ! - Et tu me réveilles pour ça ? »
Sully enfonça sa tête dans ses nombreux oreillers en grognant pour montrer sa frustration et son mécontentement face à la décision de son amie. Zooey, soupira bruyamment et assena de nombreuses claques au dos de son ami jusqu’à ce qu’il se bougea finalement. Victorieuse, elle se leva et lui lança des vêtements – le forçant ainsi à s’habiller sur le champ – et continua de chanter jusqu’à ce que, finalement, Hawkings soit prêt. Il n’en avait vraiment pas envie : il avait la gueule de bois et ce n’était pas en allant se faire tripoter par des inconnus qu’il allait se sentir mieux. Oui, ça lui permettrait de ne penser à rien, mais n’empêche que malgré tout : il n’avait pas envie de se promener à moitié nu parce que c’était la norme… Uhm, s’il devait être lui-même a pratiquement nu… Les femmes aussi. Oh. Nouvelle motivation !
Sullivan s’efforça de se dépêcher. Zooey savait se montrer très impatiente et en avait marre d’attendre après lui. Elle voulait l’invité parce qu’elle savait ce qu’il avait fait la veille. Elle savait qu’il avait fait le con et que ce matin, il allait être facilement manipulable. Oui, manipulable : peu d’heures de sommeil dans le corps et l’étudiant faisait pratiquement tout ce qu’on lui demandait, à condition qu’il venait à peine de se réveiller. Ils montèrent à l’étage, évitant tel des professionnels, la mère de Sully qui vaquait à ses occupations. Il ne fallait pas qu’elle les entende sinon, ils allaient être prit à déjeuner, à discuter et trouver une bonne excuse pour la gueule de bois en plein milieux de semaine. Oui, sa maman ferme les yeux sur beaucoup de choses, donc les frasques visibles de son fils… Mais bon.
Bref, arrivé là-bas – avec Zooey encore une fois sur son dos. Elle ne voulait pas marcher, la pauvre – ils allèrent tous deux parler à la réceptionniste puis quittèrent vers les installations de relaxation. La jeune femme planta son ami pour un massage thaïlandais et, préférant ne pas se faire tripoter, Sully décida qu’il serait mieux à suer son lendemain de veille plutôt que de mariner dedans. Le sauna fut, donc, le choix idéal. Se fut donc, les yeux mit clos avec sa tête de type à moitié mort – ce fut même un miracle qu’il réussit à s’y rendre sans tomber ou se perdre –, qu’Hawkings entra dans le sauna.
« Ah bah putain de merde. Enfin quelqu’un de sexy qui montre de la peau ! Si seulement j’avais su, je me serais précipité ici biiiien avant, laissa-t-il tombé en remarquant Benvolio assit dans la pièce. Évidement, il alla s’asseoir près de lui après avoir saluer beaucoup trop joyeusement l’autre homme. Qu’est-ce que tu fais ici ..? Tu sues, je sais mais à part ça. »
Benvolio Montague
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Sujet: Re: let's bring sexy back. (miami, sauna/spas) Mer 10 Nov 2010 - 3:20
Benvolio avait fermé les yeux, penché la tête vers l'arrière et se laissa suer. Il se serait endormi si le gros monsieur au fond de la pièce ne ronflait pas déjà. Était-il dangereux de dormir dans un sauna? Il ne savait même pas combien de temps on pouvait rester dans un sauna. Il ne resterait pas une heure, ça c'était certain. Il rouvrit les yeux pour fixer le plafond, en baillant. La porte s'ouvrit elle aussi, laissant entrer un léger courant d'air frais. Ben pencha la tête et haussa un sourcil en voyant la tronche particulièrement détruite de son pote Sully. Ce dernier le remarqua rapidement et lui sauta quasiment dans les bras.
« Ah bah putain de merde. Enfin quelqu’un de sexy qui montre de la peau ! Si seulement j’avais su, je me serais précipité ici biiiien avant! Qu’est-ce que tu fais ici ..? Tu sues, je sais mais à part ça. »
Benvolio avait hérité de sa tendre mère un odorat particulièrement puissant. Sa mère le savait toujours quand il n'était lavé et qu'il était en lendemain de veille. Elle le regardait, allait le sentir et déterminait d'une voix très sage tout ce qu'il avait pu consommé la soirée d'avant. Et ce même si ce qu'il avait consommé était le corps d'une femme. Sa mère avait ce petit don, un peu bizarre qu'elle avait transmis à son aîné. Tout ça pour en venir au fait que Ben détermina tout de suite l'odeur malodorante qui suivait Sully comme son ombre.
« Sully, tu sens vraiment mauvais, il faut vraiment que tu le saches. Sinon, pour répondre à ta question, j'ai consulté un psychiatre la semaine passée et il m'a dit de m'adonner à quelque chose de spécial afin de purifier mon esprit et mon corps. Alors je suis maintenant bouddhiste, et en ce moment je médite. »
C'était le matin pour tout le monde, non? Sully et Benvolio arboraient des airs de types qui étaient plus ou moins dans leur environnement habituel. Mais la présence de son ami le réconforta d'une certaine façon. Il comptait bien le traîner avec lui toute la journée, quitte à faire enrager Janell. Enfin, il ne voulait pas la frustrer sans raison, bien sûr que non. Mais il l'entendait déjà soupirer et le regarder avec son regard pleins de poignards lui dire qu'il ne faisait pas d'effort. Et elle avait raison, merde. Il n'en faisait pas. Et Sully aujourd'hui l'aiderait à en faire encore moins. Ce n'était pas manipuler son ami, au contraire. C'était de prendre Sully comme une bouée de sauvetage à une noyade certaine qu'était l'océan de la colère de sa petite amie. Pathétique.
Sully répondit quelque chose de vague et Benvolio le regarda lorsque sa voix s'éteignit lentement. Il suivit le regard de son ami, posé sur les créatures qui venaient d'entrer dans le sauna. Deux jeunes femmes entrèrent, en riant. Les deux en bikini et en serviettes, l'une avait la peau aussi noire que l'ébène et le blanc de son bikini ressortait encore plus. La deuxième, un peu plus petite, était brune et son bikini rouge laissait voir beaucoup trop de parcelle de peau. Sully et Ben se regardèrent, un petit sourire naissant au coin de leur lèvre. Cet épisode se montrait de plus en plus intéressant.
Sullivan Hawkings
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Sujet: Re: let's bring sexy back. (miami, sauna/spas) Ven 12 Nov 2010 - 23:55
Le mode Zombie n’a jamais réussit à personne le matin alors qu’ils avaient à peine deux heures de sommeil dans le corps. Ça ne réussissait pas mais dernièrement, c’était l’état dans lequel Sullivan s’affichait publiquement. Bon, certes, aujourd’hui, il aurait techniquement passé la journée dans son lit à vaciller entre les rêves et les programmes de grands-mères qui passaient à la télévision le jour mais son amie en avait décidé autrement en le trainant ici. Avoir l’air mort en solo, c’est une chose, mais en public… C’est un peu plus… Moins intéressant, disons.
Il aurait dut rester chez lui à se mourir lentement jusqu’à finalement se sentir mieux parce que maintenant assit, le dos et la tête appuyés contre le mur à se passer lentement une main dans le visage et les cheveux, il se rendit compte qu’il ne se sentait tout simplement pas bien. Vrai, il avait une gueule de bois particulièrement coriace mais la chaleur accablante de l’endroit n’était en aucun cas de son côté. Pas un bon mélange, mais il avait déjà enduré bien pire. Il allait survivre : il était un habitué.
« Sully, tu sens vraiment mauvais, il faut vraiment que tu le saches. Sinon, pour répondre à ta question, j'ai consulté un psychiatre la semaine passée et il m'a dit de m'adonner à quelque chose de spécial afin de purifier mon esprit et mon corps. Alors je suis maintenant bouddhiste, et en ce moment je médite. »
Sully haussa mollement les épaules en fermant les yeux. Oui, il savait qu’il sentait mauvais, oui, il savait qu’une odeur de relent d’alcool le suivait et oui, il s’en foutait. Il n’aurait crut croiser personne qu’il connaissait – et son amie avait été beaucoup trop pressante et dirigeante ce ‘matin’-là – donc il n’y avait tout simplement pas pensé, croyant que l’endroit allait être vide. En fait, il n’avait pensé à rien : il s’était laissé guider, heureux que l’on se charge de ça pour lui. Hey, n’importe quoi pour s’éviter une migraine inutile était la bienvenue, évidemment.
« Oh. Tu sais que le bouddhisme ce n’est même plus spécial : c’est devenu une mode que toutes les mères qui adore Julia Roberts ont adopté après avoir lu ou bien vu Eat, Pray, Love ? J’aurai cru que tu aurais réussit à trouver quelque chose de plus... Original, voir, même amu… »
Sa voix n’aurait pas diminué au fil des mots si le bruit de la porte s’ouvrant n’avait pas attiré son attention. Il avait à peine bougé la tête et ouvert les yeux pour voir les nouveaux venus pour ensuite les refermer. Bien sûr, il ne s’attendait pas à voir deux femmes – belles – en plein milieux de semaine dans un sauna ou deux hommes – du moins, ils étaient deux à être conscients. Quoi qu’un des deux l’étaient à moitié, mais tout de même ! – qui n’avaient pas nécessairement quelque chose à envier à d’autres jeunes gens. Bref. Elles étaient belles, ils étaient beaux. L’équation n’est pourtant pas difficile à faire. Sully ramena son attention vers son ami et à voir la tête que Volio faisait, il était évident qu’il était également venu à la même conclusion que lui. Il n’y avait qu’un seul problème en fait…
« Volio… murmurra-t-il en se penchant légèrement vers son ami. Je ne pourrais pas faire passer ça sur lui, uh ? »
Il avait fait un léger signe de tête, à peine perceptible, en direction du monsieur endormit. C’était carrément enfantin – voir même quelque peu méchant – de vouloir faire passer ce que Benvolio avait remarqué quelques temps plus tôt sur cet homme qui ne bougeait que pour ronfler. Awh lala.
Benvolio Montague
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« Volio…Je ne pourrais pas faire passer ça sur lui, uh ? »
Ben réfléchit, même si son esprit était plus occupé à analyser les courbes du corps des deux jeunes femmes. Un certain malaise vint l'assaillir dans le bas du ventre. Il se passa une main dans les cheveux, la chaleur l'étouffant. Ce n'était peut-être pas assez pour lui donner l'envie de tomber dans les pommes, mais assez pour l'endormir.
« J'sais pas trop ... Tu peux toujours aller prendre une rapide douche dans les vestiaires tandis que je m'occupe des jolies demoiselles en t'attendant. »
Les mots venaient-ils de sortir d'eux-mêmes? Venait-il de faire une remarque charmeuse à l'égard de deux inconnues? Ce genre de choses, ça l'aurait été l'ancien Benvolio qui les aurait dites. Et ces derniers temps, Ancien Benvolio manquait terriblement à Nouveau Benvolio. Il avait l'impression d'étouffer dans sa relation durable avec Janell, et s'en échappait en fantasmant et en courtisant secrètement la Reine Carlee. Il était dans l'oeil des deux pires tigresses de Verona Beach et il trouvait quand même le moyen d'en regarder d'autres?
Était-ce un signe divin qui lui annonçait qu'il était temps pour lui de passer à une autre étape de son existence? Était-ce la volonté de Dieu qu'il se posa autant de questions inutiles qui le faisaient sentir comme une pré-adolescente? Il irait bientôt à l'Église, se renseigner. Il fallait qu'il sache si c'était son destin ou bien si c'était sa simple stupidité. Il allait cependant devoir faire attention à son jeune cousin qui s'y rendait à une base hebdomadaire. À ce qu'il savait, Romeo y allait toujours la même journée de la semaine. Benvolio n'aurait qu'à y aller une autre soirée, soit pour faire très attention à ne pas rencontrer aucun membre de sa famille: il ne voulait pas que la machine à potins se remette en marche à son sujet. Il ne faisait depuis longtemps plus la une des journaux, ces derniers trouvant CJ et Roméo beaucoup plus intéressants.
De plus, sa famille ne devait se douter de rien. Sa famille devait le voir comme le jeune homme sans tares. Il ne voulait pas perdre son statut de jeune homme immaculé, pur, gentil. Bref.
« Mais j'imagine qu'on peut toujours essayer de faire passer sur le dos du gros monsieur ton odeur insipide. Il ne faut juste pas qu'elles sentent ton haleine. »
Il sourit en voyant son ami sourire. Ce dernier se leva, tranquillement –son état ne lui permettant pas d’avoir des gestes rapides et précis– et se dirigea vers les deux jeunes femmes. Benvolio n’était pas pour rester en arrière. Les deux filles ne semblaient pas ennuyées de les voir. Ben entrepris de s’asseoir près de la peau d’ébène, qui se présenta sous le nom de Krista.
« Moi c’est Ben. »
Ils se serrèrent la main. Benvolio remarqua que son ami s’était effectivement assis près du gros monsieur puant. L’autre jeune femme ne semblait pas réagir à l’odeur de Sully, avec chance.
[hj: désolée du retard ma puce d'amour!]
let's bring sexy back. (miami, sauna/spas)
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